Bibliography

  • 2019 DVD PLUNGE Re:voir Video, 60-pages booklet with articles by A. Taubin, F. Rossin, V Ostrovsky

    An intimate – yet humorous – act of cultural resistance, the cinema of Vivian Ostrovsky is a gesture, implying the filmmaker’s entire body – as she travels around the world, carrying the gear, framing with a camera-eye. She digs in archival footage for an immense repertory of cinematic gestures performed by others – and playfully edits them with her own Super-8 shots. Multi-culturalism and polyglotism are woven into this poetics of displacement.

    Bérénice Reynaud

  • 2014 Interview by Thomas Howells-Black Dog publishing Ldt, London Experimental Eating

    A dedicated cinephile, Ostrovsky’s recommended menu of food films would include Syderberd’s Ludwig’s cook, a biography of Ludwig II of Bavaria seen through  the eyes of his cook.

  • 2014 Interview by Raphael Bassan, Ed Yellow Now. Cinéma Expérimental, Abécédaire pour une contre-culture

    Figure atypique, Vivian Ostrovsky s’attache à un art du fragment, à un cinéma impressionniste qui relève à la fois du journal filmé et du collage Au confluent de diverses cultures (américaine, russe, brésilienne), elle pratique un cinéma nomade, et aussi un cinéma du quotidien. Nikita Kino (2002) est peut être un des meilleurs films réalisés à ce jour sur la période de la glaciation soviétique dans les année 1965-1975.

  • 2011 Mémoire de Master 2, 2011 – Claire Lenfant-Preus Mode(s) de remploi dans les films de Vivian Ostrovsky

    Mode(s) de remploi dans les films de Vivian Ostrovsky, Claire Lenfant-Preus sous la direction de Nicole Brenez, mémoire de Master 2 recherche, Paris 3, 2011.


    L’originalité de la démarche de Vivian Ostrovsky réside dans le traitement particulier qu’elle fait des images. Les films de famille sont traités comme du found footage et le found footage comme des films de famille. En réduisant les images à une échelle où elles deviennent alors malléables, la cinéaste étend son pouvoir créatif à l’échelle de la cinématographie toute entière. Le found footage et le film de famille lui offrent la matière pour réécrire l’histoire du cinéma et son histoire personnelle. Elle sonde au plus profond de la matière filmique pour en extraire les éléments qui permettent d’éclairer ses propres préoccupations en tant que cinéaste.

  • 2006 AFEA Editions Images/Discours - Entretien avec Alain-Alcide Sudre

    J’ai commencé par la photo, très jeune. Ma mère étant photographe, je regardais dans un Rolleiflex et ça me plaisait. J’ai essayé de faire mes propres photos, sans trop de succès mais avec persévérance. Quelques années plus tard, quelqu’un m’a offert une caméra, et pendant longtemps, j’ai fait des home movies en 8mm puis en Super-8. Ce n’est que beaucoup plus tard que j’ai commencé une vrai activité cinématographique. J’ai toujours aimé le cinéma, ma mère nous y emmenait beaucoup. Je voyais pas mal de films sans jamais penser à en faire. C’est par l’autre côté que j’ai commencé en organisant des festivals de films de femmes dans les années 70.

    IMAGES/DISCOURS, Nicolas Rey, Vivian Ostrovsky, William English, Yannick Koller, AFEA

  • 2003 Bref – Raphael Bassan Le cinéma nomade de Vivian Ostrovsky

    Passant de l’intime au pamphlet sociologique (mais toujours de manière subjective et personnelle), Ostrovsky démontre qu’elle est une créatrice profondément originale et singulière.

  • 2002 Re:Voir, DVD – Interview Cinex#3 by F. Devaux et M. Amarger with Nikita Kino Cinexpérimentaux 1-4 

    Vivian Ostrovsky promène sa caméra d’un continent à l’autre. Acuité du regard et des situations. Rapprochements d’images et de sons parfois longtemps archivés. Cette cinéaste nomade est à l’affût de situations insolites qui prennent leur force grâce à un travail minutieux et judicieux de montage.

  • 1999 National Museum of Modern Art, Centre Georges Pompidou, Paris L’Art du Mouvement

    Collectant au cours de ses pérégrinations une multitude d’images (la caméra Super 8 autorisant à glaner comme en flânant, les films étant gonflés ensuite en 16 mm), Vivian Ostrovsky, après les avoir accumulées, en vient au stade de classification puis du montage. Celui-ci résulte d’un processus sévère d’élimination (ainsi les dix minutes de Movie sont issues de plusieurs dizaines d’heures de tournage). Le travail de la bande-son, plus proche quant à lui de l’esthétique du collage, joue sur les dissonances harmoniques, les ruptures de ton et de registre, les musiques vernaculaires de tous les horizons pouvant s’associer à la musique de film, d’opéra ou à des bribes de musique classique, des bruits enregistrés (parfois retravaillés) venant s’ajouter à ce pot-pourri. Ce jeu sur le disparate procède d’un esprit de sel.

    Alain-Alcide Sudre

     

    English version in the pdf

  • 1998 Collection Sine Qua Non Cinema, Edition Paris Experimental Poussière d'image

    Les films de Vivian Ostrovsky appartiennent à deux genres développés dans le cinéma experimental : le journal filmé et le film collage. Ses films sont la combinaison savoureuse de ces deux catégories en un même mets qui se moquerait des définitions  est des genres. 

Top